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Visas de travail français : Réglementation et conditions d'emploi

Saisir les opportunités : Votre guide complet pour travailler à l'étranger en France

Êtes-vous prêt à faire évoluer votre carrière en France ? Avec son économie florissante et ses nombreuses perspectives, la France offre un environnement dynamique aux professionnels ambitieux. Cependant, il est essentiel de vous familiariser avec les règles essentielles qui régissent le lieu de travail.

Que vous soyez citoyen de l’Union européenne ou résident hors UE, ce guide vous fournit des informations précieuses pour naviguer sur le marché du travail français et atteindre vos objectifs de carrière en toute confiance.

Citoyens de l'UE

Les citoyens des États membres de l’UE, des pays de l’Espace économique européen (EEE) et de la Suisse, grâce aux lois européennes sur la libre circulation, peuvent vivre et travailler en France sans avoir besoin d’un visa ou d’un permis de travail. Avec un simple passeport ou une carte nationale d’identité, ils peuvent séjourner en France jusqu’à trois mois sans aucune formalité. Au-delà, ils peuvent poursuivre leur séjour s’ils sont salariés, indépendants ou s’ils disposent de ressources suffisantes et d’une assurance maladie.

Réglementation du travail pour les citoyens français et de l’UE

En France, les citoyens français et européens sont soumis au droit du travail français. Le célèbre code du travail français définit les règles relatives au temps de travail, aux congés, aux congés de maladie, aux congés parentaux, à la santé et à la sécurité sur le lieu de travail, ainsi qu’aux mesures de lutte contre les discriminations.

La semaine de travail normale en France reste de 35 heures, comme établi par les lois Aubry. Les travailleurs ont droit à un minimum de cinq semaines de vacances par an, en plus des jours fériés. Le droit du travail français est connu pour ses solides protections des travailleurs, qui comprennent des directives sur le paiement des heures supplémentaires, les périodes de repos obligatoires et des garanties pour les travailleurs à temps partiel et les travailleurs temporaires.

2023 Mises à jour sur l’immatriculation et la sécurité sociale en France

Les citoyens de l’UE, qui n’ont pas besoin de permis de travail, doivent enregistrer leur résidence s’ils prévoient de rester plus de trois mois. Cet enregistrement peut être effectué à la mairie.

Le système de sécurité sociale français, la « Sécurité sociale », exige que tous les travailleurs, y compris les citoyens de l’UE, cotisent. Ce système offre diverses prestations telles que l’assurance maladie, les allocations de chômage et les pensions. Les citoyens de l’UE qui travaillent en France ont les mêmes droits et devoirs que les ressortissants français en ce qui concerne les cotisations et les prestations de sécurité sociale.

Droits, obligations et mises à jour 2023 pour les travailleurs en France

Les citoyens français et européens bénéficient des mêmes conditions en matière de contrats de travail, de protection contre le licenciement, de salaire minimum et de lois anti-discrimination. Le droit du travail français garantit une protection solide contre les licenciements abusifs.

À compter du 1er janvier 2023, le salaire minimum, appelé « Salaire Minimum Interprofessionnel de Croissance » (SMIC), est revalorisé à 10,25 euros bruts de l’heure. Tous les travailleurs, y compris les citoyens de l’UE, ont droit à ce salaire minimum ou à un salaire plus élevé.

En matière de lutte contre les discriminations, le code du travail français interdit strictement les discriminations fondées sur la nationalité. Les employeurs ne peuvent pas prendre de décision concernant l’embauche, le licenciement ou toute autre décision liée à l’emploi en fonction de la nationalité d’un travailleur.

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2023 Modifications du droit du travail en France

  • Modifications du régime d’activité partielle: Les entreprises touchées par des délestages peuvent désormais placer leurs salariés en activité partielle si elles ne peuvent pas adapter les horaires de travail à cette situation.

  • Réforme de l’assurance chômage: Les allocations de chômage peuvent être refusées à ceux qui refusent deux contrats permanents après leur dernier contrat temporaire.

  • Épargne salariale: À partir du 1er janvier 2023, les accords d’intéressement pourront être rédigés via une plateforme de l’Urssaf, garantissant des exonérations sociales et fiscales pendant la durée de l’accord.

  • Contrôles URSSAF: A partir du 1er janvier 2023, les contrôles URSSAF des entreprises de moins de 20 salariés seront limités à 3 mois, sauf exceptions.

  • Contrat de sécurité professionnelle (CSP): Le régime du CSP reste applicable jusqu’au 31 mars 2023, avec des adaptations potentielles à partir de mars 2023.

  • Revalorisations: Le plafond annuel de la sécurité sociale (PASS) a été revalorisé pour la première fois depuis 2020, désormais fixé à 43 992 euros pour 2023. Le plafond d’exonération de la contribution patronale aux titres-restaurant a été réévalué à 6,50 euros, ce qui porte le montant maximum des titres-restaurant à 13 euros. Le SMIC a été revalorisé de 1,81 % au 1er janvier 2023, soit 1 709,28 euros bruts par mois.

Voici un guide complet pour les citoyens de l’UE après leur arrivée en France :

1. Résidence et autorisation de travail :

  • Les citoyens de l’UE ont le droit de vivre et de travailler en France sans avoir besoin d’un visa ou d’un permis de travail. Toutefois, si vous vivez en France depuis plusieurs années et que vous souhaitez vous installer pour une période prolongée, vous pouvez demander une carte de résident. Cette carte autorise son titulaire à exercer une activité salariée ou indépendante en France.

2. L’inscription :

  • Si vous avez l’intention de séjourner en France pendant plus de trois mois, vous devez déclarer votre résidence. Cette démarche peut être effectuée auprès de la mairie.

3. Sécurité sociale et assurance maladie :

  • Les citoyens de l’UE qui travaillent en France sont tenus de cotiser au système global de sécurité sociale connu sous le nom de « Sécurité sociale ». Ce système fournit des prestations telles que l’assurance maladie, les allocations de chômage et les pensions. Assurez-vous d’être affilié au système d’assurance maladie.

4. Résidence de longue durée :

  • Après avoir résidé en France pendant au moins cinq ans, vous pouvez demander la carte de résident portant la mention « résident de longue durée – UE ». Pour être éligible, vous devez démontrer
    • Une résidence ininterrompue d’au moins cinq ans.
    • Affiliation au système d’assurance maladie.
    • Des moyens de subsistance suffisants, avec des ressources au moins égales au SMIC (20 966,40 € au 1er mai 2023).
    • L’intégration dans la société française, y compris la connaissance de la langue française et des principes régissant la République française.

5. Renouvellement de la résidence :

  • La carte de résident est valable 10 ans et est renouvelable. Si vous souhaitez prolonger votre séjour, vous devez présenter une demande de renouvellement dans les deux mois précédant l’expiration de votre permis de séjour actuel.

6. Membres de la famille :

  • Si votre famille vous accompagne, elle peut demander un permis de séjour indépendant du vôtre. S’ils entrent en France au titre du regroupement familial pour rejoindre un ressortissant non européen titulaire d’une carte de résident en France, ils peuvent bénéficier d’une carte de résident valable 10 ans.

7. Les coûts :

  • Une taxe de 200 € est due à l’OFII lors de la délivrance du permis. En outre, un droit de timbre de 25 euros sur les permis de séjour est ajouté. Le coût administratif total est de 225 euros.
Vérifiez régulièrement les changements ou les mises à jour de la réglementation française qui pourraient avoir une incidence sur votre statut. Cela vous permet de rester en conformité avec toutes les exigences. Enfin, profitez de la beauté, de la culture et des opportunités qu’offre la France !

Les ressortissants de pays non membres de l’Union européenne, c’est-à-dire de pays situés en dehors de l’Espace économique européen (EEE) et de la Suisse, sont soumis à des réglementations spécifiques lorsqu’ils souhaitent travailler en France. Régies par les lois françaises et européennes sur l’immigration, ces réglementations nécessitent souvent l’obtention d’un visa ou d’un permis de travail approprié.

Types de visas et permis de travail récents pour les ressortissants de pays tiers

Le type de visa requis pour travailler en France dépend de la nature et de la durée du travail. Voici quelques-uns des types de visas les plus courants :

  • Visa de long séjour valant titre de séjour (VLS-TS) : Pour ceux qui ont l’intention de travailler en France pendant plus d’un an, ce visa est indispensable. A votre arrivée, une visite à l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII) est obligatoire pour la validation du visa.

  • Visa de travailleur temporaire: Conçu pour les ressortissants de pays tiers ayant un contrat de travail à durée déterminée de 3 à 12 mois en France.

  • Visa de salarié en mission: Les salariés envoyés en mission par leur entreprise en France pour une durée supérieure à trois mois ont besoin de ce visa. Il englobe le « passeport des talents » pour les personnes possédant des compétences spécialisées très demandées.

  • Permis de séjour d’un an pour les emplois à forte demande: Introduit en 2023, ce permis cible les sans-papiers dans les secteurs connaissant une pénurie de main-d’œuvre. Pour en bénéficier, ils doivent présenter huit bulletins de salaire et justifier d’un séjour de trois ans en France.

Avant de demander un permis de travail, les ressortissants de pays tiers doivent obtenir un emploi en France. En règle générale, l’employeur français gère la demande initiale auprès de l’antenne locale du ministère français du travail.

Réglementation du travail pour les ressortissants de pays tiers : perspectives pour 2023

En France, les ressortissants de pays tiers sont soumis aux mêmes règles de travail que leurs homologues français et européens. Le code du travail français définit les règles en matière de temps de travail, de congés et autres, garantissant aux travailleurs étrangers des droits équivalents à ceux des ressortissants français.

Sur le plan fiscal, si la France est leur résidence principale ou leur centre d’activité principal, les citoyens non européens sont généralement assujettis à l’impôt sur le revenu français.

Si la procédure pour travailler en France est plus rigoureuse pour les ressortissants de pays tiers en raison des conditions d’obtention d’un visa ou d’un permis de travail, une fois en France, ils bénéficient des mêmes droits, protections et responsabilités que les travailleurs français et de l’Union européenne.

Citoyens non-européens

Visas d'étudiants français

Réglementation des stages pour les nationaux et les étrangers
UE / NON UE
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2023 Faits marquants :

  • Un nouveau projet de loi sur l’immigration a été présenté au début de l’année 2023, visant à simplifier le processus de légalisation pour les travailleurs sans papiers dans les secteurs où il y a une pénurie de main-d’œuvre. Ce projet de loi accélère également les expulsions.

  • Le projet de loi introduit un permis de séjour d’un an pour les emplois à forte demande. Ce permis est accessible aux personnes sans autorisation de séjour travaillant dans des secteurs en pénurie de main-d’œuvre, à condition qu’elles puissent présenter huit bulletins de salaire et qu’elles soient en France depuis trois ans.

  • Le projet de loi introduit également un passeport « talent » spécifique pour faciliter l’immigration de certains professionnels, notamment les médecins, les pharmaciens, les dentistes et les sages-femmes.

  • Les demandeurs d’asile peuvent désormais travailler dès l’introduction de leur demande, sous certaines conditions.

  • Le projet de loi contient des dispositions visant à simplifier le contentieux administratif de l’immigration, afin d’alléger la pression sur les tribunaux et de rendre l’expulsion plus efficace.

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Questions fréquemment posées

Non, les citoyens de l’UE n’ont pas besoin de visa ou de permis de travail pour vivre ou travailler en France. Cette liberté de circulation est un principe fondamental de l’UE, énoncé à l’article 45 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE) et dans la directive 2004/38/CE.

Les citoyens de l’UE ont le droit de séjourner en France pour une durée maximale de trois mois sans conditions ni formalités. À l’issue de cette période, ils doivent exercer une activité salariée ou non salariée, ou disposer de ressources suffisantes et d’une assurance maladie pour continuer à résider en France.

Oui, les citoyens français et européens doivent respecter le droit du travail français. Le code du travail français réglemente le temps de travail, les congés, les congés de maladie, les congés de maternité et de paternité, la santé et la sécurité au travail, ainsi que la protection contre la discrimination.

La semaine de travail normale en France est de 35 heures, conformément aux lois Aubry. Toutefois, les heures supplémentaires sont autorisées sous certaines conditions et sont généralement compensées par un temps de repos supplémentaire ou une prime.

Les citoyens de l’UE qui travaillent en France sont tenus de cotiser au système de sécurité sociale français, connu sous le nom de « Sécurité sociale ». En contrepartie, ils bénéficient d’une série d’avantages tels que l’assurance maladie, les allocations de chômage et les pensions. Les citoyens de l’UE ont les mêmes droits et obligations que les ressortissants français à cet égard.

Oui, les citoyens de l’UE doivent déclarer leur résidence s’ils ont l’intention de séjourner en France pendant plus de trois mois. Cette démarche peut être effectuée auprès de la mairie.

Oui, le code du travail français interdit la discrimination fondée notamment sur la nationalité, ce qui signifie que les employeurs ne peuvent pas refuser d’embaucher, licencier ou discriminer un travailleur de quelque manière que ce soit en raison de sa nationalité.

Le salaire minimum en France, appelé « Salaire Minimum Interprofessionnel de Croissance » (SMIC), est révisé chaque année. À partir du 1er janvier 2023, il est fixé à 10,25 euros bruts par heure. Tous les travailleurs, y compris les citoyens de l’UE, ont droit au moins au salaire minimum.

Les travailleurs français ont droit à un minimum de cinq semaines de congés payés par an, en plus des jours fériés.

Le système français de sécurité sociale offre une série de prestations, notamment l’assurance maladie, les prestations familiales, les pensions de retraite, les allocations de chômage et la couverture des accidents du travail et des maladies professionnelles.

À partir de 2023, l’âge légal de la retraite en France est fixé à 62 ans. Cependant, l’âge de la retraite à taux plein (âge auquel on peut prendre sa retraite sans réduction de pension, quels que soient les trimestres cotisés) se situe entre 66 et 67 ans, en fonction de l’année de naissance.

Le type de visa dont vous avez besoin dépend de la durée et de la nature de votre travail. Si vous souhaitez travailler en France pendant plus d’un an, vous pouvez demander un visa de long séjour valant titre de séjour (VLS-TS). Pour les contrats à durée déterminée de 3 à 12 mois, vous pouvez demander un visa de travailleur temporaire. Si votre entreprise vous envoie en mission pour plus de trois mois, vous pourriez avoir besoin d’un visa « Employee on Assignment ». Veuillez consulter le site officiel de French-Visas pour plus de détails.

En règle générale, les ressortissants de pays tiers doivent avoir un emploi en France avant de demander un permis de travail. L’employeur français introduit généralement la demande au nom de l’employé auprès de l’antenne locale du ministère français du travail.

Oui, le code du travail français s’applique à tous les travailleurs en France, quelle que soit leur nationalité. Elle prévoit des réglementations sur les heures de travail, les vacances, les congés de maladie, les congés de maternité et de paternité, la santé et la sécurité au travail, et la protection contre la discrimination.

Non, le code du travail français stipule que les travailleurs étrangers ont les mêmes droits que les ressortissants français, y compris le droit à un salaire minimum, qui est révisé chaque année.

Oui, tous les travailleurs en France, y compris les ressortissants de pays tiers, sont tenus de cotiser au système de sécurité sociale français, connu sous le nom de « Sécurité sociale ». En contrepartie, ils ont droit aux mêmes prestations sociales que les citoyens français, telles que l’assurance maladie, les allocations de chômage et les pensions.

Si vous avez un visa de long séjour, vous pouvez demander un « regroupement familial » pour faire venir les membres de votre famille en France. Toutefois, des conditions spécifiques s’appliquent, notamment la preuve que vous disposez d’un espace de vie adéquat pour votre famille et de ressources suffisantes pour subvenir à ses besoins. Il est préférable de consulter le site officiel de French-Visas pour connaître les conditions exactes.

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